Quand GDC aide le président...
La France est en panne : plus d'argent, plus de travail, une politique qui n'a de sociale que les prétentions et des supers-crevards en force (à voir prochainement) au pouvoir. Mais même les plus grands ont besoin de mentor.
C'est pourquoi je reçois la semaine dernière deux agents de l'Elysée. Ma mission : «Nous avons besoin de vos services : le pays est en chute libre et a donc besoin d'argent. Nous avons tout vendu au Brésil et nous n'avons plus rien à proposer... Mais d'après nos informations, vous semblez incollable sur ce peuple d'irréductibles chiasseux eurasiens de la tête».
GDC mit alors un plan infaillible au point, consistant à vendre à ces crevards de Kazahks, le peuple des bulots comme je les appelle affectueusement, ce qui pourrait passer pour des déjections d'enfants de trois mois après trop de compotes de poires, déjections qui se transformeraient par enchantement pour le must du must dans les mains de ceux qui éliraient Francis Lalanne président sans l'ombre d'une hésitation.
" Ceci, mon cher ami président Ahbessédaieuev, est notre nouveau prototype d'avions de guerre, baptisé Rufus, tête chercheuse, artillerie xp 2002 ratp alliance ethnik raggamuffin, qui supplante littéralement l'Apache Américain"
Vous vous doutez bien que le GDC fut grandement récompensé par le président de notre chère république, en quelques mots : hélicoptère, château, alcool, no limit, putes à gros nibards, Marie-Ange Nardi, présidence de l'EPAD (l'Eviscération Publique d'Alexandre Debanne).
" Comment ça, vous refusez mon cadeau, ce superbe ouvrage relié de "Oui-Oui à la piscine" ? Mais, quelle manque de diplm... Ah !! Vous savez pas lire,..."
"Et en plus d'être aussi cons, ils prennent leur Pol Rémy pour du Dom Pérignon !! GDC a vraiment eu le nez fin sur ce coup-là, quelle peuple de tâches !!"
Depuis, Nico et moi, c'est à la vie, à la mort, même si je me refuse à me dévoiler publiquement comme il le souhaiterait, préférant rester tapi dans l'ombre et lui laisser tout le succès, tel le Batman attendant le méchant malfrat, car oui, sachez la vérité : Betancourt c'est moi, le mariage avec Carla, c'est bibi, Hortefeux, itou (j'étais bourré). Par contre, pour le reste j'étais pas là, je faisais un moonwalk sur l'autoroute...
"-Bon, franchement, qui a rit en lisant cet article idiot, sans intérêt, aux portes de l'antisémitisme, vulgaire et pauvre ?
-Moi, ji bien rigolé, parce que li kazahks, y zont achiti di pains de mi alors qui nous, à Hal-Qaïda, on leur avi di qu citi di pains di ci4, ci pour dire si y sont cons. Il y fort, gidici, hihihi !!"